52ème Congrès Fédéral à Echternach

Schriftstücke

     
 

Préface

wolfartLes sapeurs pompiers du Grand-Duché de Luxembourg tiendront leur 52e congrès fédéral à Echternach le 18 septembre 1977. A cette occasion, il est opportun de jeter  un regard sur le passé afin de constater le chemin parcouru depuis la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, époque à laquelle la plupart des corps de sapeurs-pompiers volontaires sont nés, suite à l’industrialisation et à la transformation subséquente du monde de vie et des conditions d’habitat de la population.

Il a fallu du courage et de l’abnégation à des hommes vaillants pour jeter les bases du service d’incendie actuel ; que de loisirs n’ont-ils sacrifiés, que de risques n’ont-ils encourus pour aider leurs concitoyens dans la lutte contre le feu et les catastrophes ; ils ont réussi dans leurs entreprises et j’éprouve un grand plaisir à le reconnaître publiquement.

A l’heure cependant, les moyens locaux crées à l’origine, et bien que l’intervention immédiate d’un corps local soit le plus efficace pour lutter contre le feu naissant, ne suffisent plus et la lutte contre l’incendie a été organisée sur un plan régional avec création de bases de support dotées de moyens et de matériel conséquents.

Si on considère que les prestations des soldats du feu ont toujours été fournies pour la majeure partie sans contrepartie aucune, à titre bénévole, on comprend que ces hommes ont bien mérité de leur partie et qu’ils ont droit à l’estime et à la reconnaissance de la population.

De son côté, l’Etat continuera à apporter, comme pour le passé, une aide matérielle substantielle aux communes et contribuera au maintien et au développement d’un service d’incendie efficace indispensable à notre époque.

Joseph Wolhfart
Ministre de l’intérieur 

 
 

Préface - Gab Dellere

Avant propos - Henri Funck

SOUS LE HAUT PATRONAGE DE MM:

SOUS LES AUSPICE DE MM:

MERCI DU COMITE D'ORGANISATION

LE COMITE D'ORGANISATION

LE COMITE CANTONAL 1977

DAS FEUERLÖSCHWESEN IM

KANTON ECHTERNACH (Jos. Krippes)

II. DIE LOKALEN WEHREN